- EAN13
- 9782370290977
- ISBN
- 978-2-37029-097-7
- Éditeur
- AFRHC - Association française de recherche sur l'histoire du cinéma
- Date de publication
- 15/09/2022
- Collection
- 1895
- Nombre de pages
- 200
- Poids
- 635 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1895 n°97, été 2022
Auteurs Divers
AFRHC - Association française de recherche sur l'histoire du cinéma
1895
Offres
Le dernier numéro de 1895 revue d'histoire du cinéma (n°97, été 2022) est
consacré aux films comme « lieux de mémoire » – quand ils font l’objet d’une
appropriation par un groupe social, une population ou plus généralement des
publics – et comme « mémoires des lieux » – quand ils perpétuent la
physionomie d’un espace « capté » ou « recréé » dont ils portent témoignage
après sa disparition ou sa transformation. Trois études abordent cette
problématique qui fait l’objet d’une introduction: le quartier de Belleville
des premiers films aux plus récents (Michel Denis et Juliette Dubois), le
barrage de l’Aigle en Dordogne dans le film de Jean Grémillon, Lumière d’été
(1943) (François Albera) et la bourgade de Maiori près de Naples où Roberto
Rossellini filma la dernière scène de Viaggio in Italia (1953). Dans la partie
Archives, la correspondance reçue et envoyée par le critique d’Arts-
spectacles, François Truffaut (2e partie), un entretien avec le cinéaste
Maurice Delbez, récemment disparu, et un entretien avec l’exploitante de
salles d’art et d’essai (La Pagode), Yvonne Decaris.
consacré aux films comme « lieux de mémoire » – quand ils font l’objet d’une
appropriation par un groupe social, une population ou plus généralement des
publics – et comme « mémoires des lieux » – quand ils perpétuent la
physionomie d’un espace « capté » ou « recréé » dont ils portent témoignage
après sa disparition ou sa transformation. Trois études abordent cette
problématique qui fait l’objet d’une introduction: le quartier de Belleville
des premiers films aux plus récents (Michel Denis et Juliette Dubois), le
barrage de l’Aigle en Dordogne dans le film de Jean Grémillon, Lumière d’été
(1943) (François Albera) et la bourgade de Maiori près de Naples où Roberto
Rossellini filma la dernière scène de Viaggio in Italia (1953). Dans la partie
Archives, la correspondance reçue et envoyée par le critique d’Arts-
spectacles, François Truffaut (2e partie), un entretien avec le cinéaste
Maurice Delbez, récemment disparu, et un entretien avec l’exploitante de
salles d’art et d’essai (La Pagode), Yvonne Decaris.
S'identifier pour envoyer des commentaires.